Tout savoir sur les obligations boursières d’Épargne Placements Québec

Tout savoir sur les obligations boursières d’Épargne Placements Québec

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Lorsqu’il est question d’épargne, les obligations boursières d’Épargne Placements Québec représentent une option à envisager. Comme n’importe quel autre produit financier, celui-ci possède plusieurs avantages, mais aussi quelques inconvénients! Avec des performances avantageuses au fil des années précédentes, elles méritent qu’on leur accorde une présentation en bonne et due forme. 

Durée du terme et rendement

En ce qui a trait à la durée du terme, notez que les obligations boursières offrent deux possibilités : placer l’argent pendant 5 ou 10 ans.  Précisons que le rendement maximal est déterminé à chaque émission et que celui-ci peut différer de celui offert lors des années suivantes. 

 

Les obligations boursières d’Épargne Placements Québec sont basées sur le rendement de l’Indice Québec 30, lequel reflète la performance de trente grandes entreprises québécoises. Parmi ces dernières, on compte notamment Quebecor, la Banque Nationale du Canada et la Banque de Montréal.

 

Toujours en ce qui concerne le rendement, sachez que celui-ci offre un potentiel supérieur aux autres types d’obligations offertes par EPQ. Attention, celui-ci n’est toutefois pas garanti.

Également, n’oublions pas de mentionner que les obligations boursières sont remboursables à l’échéance du terme sélectionné. 

Un capital garanti

Hormis le fait que le capital investi soit complètement garanti par le gouvernement québécois (incluant le boni de 1% parfois offert sur le capital), les obligations boursières d’Épargne Placements Québec offrent également plusieurs avantages. 

 

En effet, elles n’imposent qu’un investissement minimal de 100$, ce qui rend ce produit accessible à une vaste majorité de particuliers qui souhaitent faire fructifier leur argent.

L’achat d’obligations boursières d’Épargne Placements Québec

Concernant les obligations boursières d’Épargne Placements Québec, il faut savoir que celles-ci ne sont pas toujours disponibles. Effectivement, les obligations boursières sont émises à quatre reprises durant l’année (en mars, juin, septembre et décembre).

 

Les produits pour lesquels il est possible de faire l’achat d’obligations boursières du Québec sont les suivants :

 

  • régime enregistré d’épargne-retraite (REER) 
  • fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) 
  • compte épargne libre d’impôt (CELI) 
  • compte Épargne Placements 
  • compte de retraite immobilisé (CRI) 
  • fonds de revenu viager (FRV) 
  • compte d’un fiduciaire ou bien d’un agent d’un fiduciaire, lequel agit au nom d’un participant à un fonds de retraite ou un régime autogéré

Un horizon de placement à moyen ou long terme

L’horizon de placement est un aspect particulièrement important au moment de déterminer si un produit d’épargne en particulier est l’option à envisager. Surtout lorsqu’il s’agit d’obligations boursières d’Épargne Placements Québec

 

Étant donné que les sommes sont placées pour une période relativement longue (5 ou 10 ans), il s’agit d’un produit destiné aux gens pouvant se permettre de le placer aussi longtemps. Pour le faire fructifier à moyen ou long terme, il peut donc s’agir d’une avenue intéressante. 

 

Toutefois, si l’argent peut être requis pour des projets à court terme comme des rénovations, il vaut mieux opter pour un autre produit d’épargne. Comme le remboursement des obligations boursières n’est disponible qu’à l’échéance, vaut donc mieux être certain de pouvoir s’en passer!

Les obligations d’épargne du Québec

Épargne Placements Québec offre également des obligations d’épargne, lesquelles sont aussi admissibles au CELI et au REER. N’hésitez pas à consulter notre article à ce propos :


Vous croyez que les obligations boursières sont pour vous? Lisez notre article et obtenez l’opinion de Fabien Major sur le sujet : Obligations boursières : est-ce la meilleure des garanties?

Notre article Les obligations boursières : comment ça fonctionne? pourra vous éclairer davantage sur le fonctionnement parfois méconnu de ce produit.

 

L’application de Livsta vous permettra d’en savoir plus sur le type de placement adapté à vos projets.

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Comment acheter des obligations d’épargne du Québec?

Comment acheter des obligations d’épargne du Québec?

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En faisant l’acquisition d’obligations boursières (ou placement garanti lié au marché), vous prêtez de l’argent à une institution en échange d’intérêts. Comment est-il possible d’en faire l’acquisition et comment fonctionnent-elles?

Les obligations d’épargne du Québec : pourquoi en faire l’achat?

Des obligations remboursables

Les obligations d’épargne du Québec offrent des conditions avantageuses, lesquelles sont dignes de mention. Parmi celles-ci, mentionnons qu’elles sont remboursables en tout temps (complètement ou partiellement) sans pénalité. 

 

Conséquemment, la crainte de ne pas pouvoir accéder à l’argent en cas de nécessité ne s’applique pas aux obligations d’épargne du Québec. Tel que mentionné précédemment, elles sont aussi admissibles à de nombreux produits financiers.

Un capital et un taux d’intérêt minimum garanti

Également, n’oublions pas de mentionner que le capital ainsi que le taux d’intérêt minimum est garanti. Concernant les intérêts, ceux-ci sont calculés au quotidien et versés en totalité indépendamment du jour. Le taux est fixé par le ministre des Finances du Québec lors de l’émission des obligations d’épargne du Québec et est garanti pendant 1 an. Par la suite, ce sera le nouveau taux fixé qui sera applicable.

L’absence de frais de gestion et d’administration

L’absence de frais de gestion et d’administration est également un avantage à souligner pour ceux qui souhaitent profiter d’un outil d’épargne leur permettant de faire fructifier au maximum leur argent.

L’accessibilité

Enfin, ce produit est accessible avec un investissement aussi modeste que cent dollars. De ce fait, il est à portée de main d’une grande majorité de Québécois souhaitant maximiser leur épargne.

Concluons en rappelant que les conditions et modalités des obligations d’épargne du Québec sont sujet à changement. Veuillez vous référer directement à Épargne Placements Québec pour obtenir les modalités à jour.

Comment acheter des obligations d’épargne du Québec?

Pour faire l’achat d’obligations d’Épargne Placements Québec, vous pouvez ouvrir un compte sur leur site Web ou compléter une demande à même l’application de Livsta.

 

Il convient de savoir que les obligations d’épargne du Québec, contrairement à d’autres types d’obligations boursières offertes par Épargne Placements Québec, ne sont pas disponibles durant toute l’année. Il est possible d’en faire l’acquisition deux fois par an, soit en novembre et en juin. Il est donc conseillé de surveiller les dates où celles-ci sont mises en vente afin de pouvoir en faire l’achat. 

 

Sachez qu’Épargne Placements Québec offre également d’autres types d’obligations (à taux fixe, à taux progressif, à escompte, etc.) qui peuvent être achetées tout au long de l’année. Chaque type d’obligation comporte ses propres conditions et modalités qui diffèrent l’une de l’autre. 

Le transfert des fonds pour l’achat d’obligations d’épargne

Le transfert des fonds se fait en provenance de votre institution financière, laquelle est identifiée dans le profil au moment de l’ouverture d’un compte chez Épargne Placements Québec ou avec votre conseiller Livsta. 

 

Les fonds seront alors redirigés vers votre compte chez Épargne Placements Québec. Ensuite, ils peuvent être utilisés pour faire l’achat d’obligations dans un des comptes admissibles comme le régime enregistré d’épargne-retraite, le fonds enregistré de revenu de retraite, le fonds de revenu viager, le compte de retraite immobilisé et le compte d’épargne libre d’impôt.

 

L’application de Livsta vous permettra d’en savoir plus sur les obligations d’épargne du Québec et sur leur achat.

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Les obligations boursières : comment ça fonctionne?

Les obligations boursières : comment ça fonctionne?

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En faisant l’acquisition d’obligations boursières (ou placement garanti lié au marché), vous prêtez de l’argent à une institution en échange d’intérêts. Comment est-il possible d’en faire l’acquisition et comment fonctionnent-elles?

L’obligation en bourse : quel niveau de risque?

Tout d’abord, sachez que les obligations boursières sont garanties. Cela signifie que vous pourrez récupérer la totalité du capital investi à l’échéance de votre placement. Au moment d’en faire l’achat, vous pourrez d’ailleurs connaître le pourcentage minimal et maximal d’intérêts que vous pourrez toucher.

Cela présente à la fois un avantage et un désavantage. Vous connaîtrez le potentiel d’intérêts que vous pourrez générer, mais ceux-ci seront limités par le rendement maximal prédéfini. De plus, précisons que les intérêts peuvent être nuls à l’échéance du terme si les rendements attendus ne sont pas au rendez-vous. Voilà qui est donc un couteau à double tranchant!

 

Comment les intérêts que vous toucherez réellement seront calculés? Selon les rendements obtenus en bourse par l’institution avec l’argent que vous avez investi, celle-ci vous versera un pourcentage des gains réalisés à l’échéance du terme de votre obligation boursière. Ce pourcentage est celui prévu au contrat lors de la souscription et peut être plafonné à un certain niveau.

 

Concernant le rendement maximum des obligations boursières, celui-ci est souvent déterminé par la formule de participation aux gains. Cette dernière tient compte de la performance d’un panier d’actions ou d’un indice boursier pendant une période ciblée (la période de référence) et peut varier d’un placement à l’autre. 

Les obligations boursières et l’accès au fonds

Concernant la durée du placement, sachez que celle-ci est variable et peut souvent s’échelonner de 3 à 10 ans. Placer l’argent sur une plus longue échéance permet souvent d’augmenter la somme obtenue en guise d’intérêts.

 

Pour garder la possibilité d’avoir accès à l’argent avant l’arrivée à échéance du placement, il est possible (bien que rare) d’opter pour une obligation boursière rachetable. En prenant cette décision, vous obtiendrez par contre un rendement inférieur à celui que vous pourriez obtenir pour un placement non rachetable.

Les obligations boursières : est-ce le meilleur des deux mondes?

Compte tenu de leur niveau de risque inférieur à celui des actions, les obligations boursières offrent également des bénéfices moindres. L’intérêt de faire l’achat d’obligations sera donc plus manifeste pour les investisseurs qui ne peuvent se permettre de perdre le capital investi, mais qui souhaitent tout de même profiter d’intérêts potentiellement supérieurs pour venir bonifier leur épargne. 

 

On pense notamment à ceux qui auront besoin à moyen terme des fonds afin de réaliser certains projets dont ils connaissent précisément  la date de réalisation.

Obligations en bourse et intérêts

Lorsqu’un placement garanti lié au marché se trouve dans un régime enregistré (comme un CELI ou un REER), il faut savoir que les intérêts encourus par celles-ci ne seront pas imposés. À l’inverse, ces derniers le seront si les obligations boursières font partie d’un compte qui n’est pas enregistré. Bien entendu, cela peut avoir une incidence considérable sur la somme obtenue en guise de profits.

 

L’application de Livsta vous permettra de comparer parmi différents types de placements pour réaliser vos projets et de déterminer la meilleure option pour vous.

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Fonds de placement vs fonds négocié en bourse

Fonds de placement vs fonds négocié en bourse

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Fonds de placement ou bien fonds négocié en bourse? Il peut être difficile de prendre une décision entre ces deux produits financiers avant d’en connaître les principales différences. Voici donc les principales différences entre un fonds commun et un fonds négocié en bourse. 

Les coûts et le type de gestion

Les frais à assumer relativement aux fonds de placement et aux fonds négociés en bourse vont différer en importance. En effet, les frais de gestion seront habituellement plus élevés pour un fonds de placement, car ce type de portefeuille est souvent géré de façon active. Cela signifie que les fonds sont sélectionnés et gérés par un gestionnaire afin d’obtenir un rendement supérieur à celui des indices de référence.

Le fonds négocié en bourse va plutôt viser l’atteinte d’un rendement égal à l’indice de référence. Comme les placements qu’il contient vont refléter les mêmes titres que l’indice de référence, les transactions effectuées au sein du fonds seront moins nombreuses. On considère donc que le compte est géré de façon passive. Voilà pourquoi les frais d’un fonds négocié en bourse seront moins élevés que ceux d’un fonds commun de placement.

La vente des fonds

Une des principales différences entre un fonds négocié en bourse et un fonds de placement est le moment et la façon dont les fonds sont vendus. Les fonds communs fonctionnent de telle façon que les transactions sont effectuées à un seul moment de la journée. Les fonds sont donc vendus à leur valeur liquidative.

Pour sa part, on peut dire que le fonds négocié en bourse est négocié en temps réel. Comme les transactions sont effectuées par l’intermédiaire d’un compte de courtage, elles peuvent avoir cours à n’importe quel moment de la journée. De ce fait, la valeur obtenue pour les titres détenus dans un fonds de placement dépendra du moment où ceux-ci sont vendus.

Le type de gestion

Le fonds commun de placement n’est pas géré à titre personnel, mais bien grâce à un gestionnaire. Ce dernier effectue les achats et ventes de titres, le tout dans l’intérêt de l’ensemble des investisseurs qui ont des parts dans celui-ci. Quant à lui, le fonds négocié en bourse est négocié à titre individuel par chaque membre qui y détient des titres.

Les bénéfices engendrés par un fonds de placement vs un FNB

Bien que les deux types de fonds permettent d’engendrer des bénéfices, leur nature diffère. En effet, le fonds négocié en bourse permet de toucher des distributions diverses (intérêts, gains en capital ou bien dividendes).

Comme il est géré à titre individuel et non pas par un gestionnaire, ses distributions demeurent dans le compte jusqu’à ce que le détenteur décide ce qu’il souhaite en faire. Il peut être nécessaire de payer une commission sur les placements effectués, à moins que vous ayez recours à la souscription automatique de parts.

Le fonds commun permet plutôt de faire un gain en capital lorsque les parts ont pris de la valeur. Les distributions seront réinvesties par le gestionnaire au profit des investisseurs ou bien versées en espèces si l’investisseur en fait la demande.

Grâce à notre application, vous pourrez comparer certains fonds de placement et fonds négociés en bourse disponibles au Canada afin de choisir la meilleure option pour vous.

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Fonds commun : les pour et les contre

Fonds commun : les pour et les contre

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Au même titre que les autres produits d’investissement, le fonds commun possède son lot d’avantages et d’inconvénients. Afin de déterminer s’il s’agit d’une option avantageuse pour vous, voici un aperçu des pour et des contre du fonds de placement.

Les avantages d’un fonds commun

Une bonne liquidité

Le fonds commun de placement possède un avantage de taille : sa grande liquidité. En effet, tout investisseur peut racheter ses parts ou ses actions lors des jours ouvrables, qu’il s’agisse d’un rachat partiel ou total. Étant donné que leur valeur est calculée chaque jour, chaque investisseur a l’heure juste concernant la valeur des titres contenus dans le portefeuille.

La gestion du fonds commun de placement par un professionnel

Le gestionnaire de fonds possède assurément le savoir et les compétences requises pour déterminer les titres à acheter en fonction des objectifs poursuivis par le portefeuille : la croissance des fonds, leur protection ou bien l’obtention d’un revenu régulier. Soulignons que les frais de gestion sont répartis entre les divers investisseurs.

Un placement diversifié pour un risque diminué

Comme le fonds commun peut contenir des titres diversifiés, cela permet de modérer les risques de pertes financières importantes. Le gestionnaire de fonds, dont le mandat est de gérer un portefeuille diversifié, veillera à investir dans des secteurs, régions et catégories d’actifs variés afin d’éviter à l’investisseur de mettre tous ses œufs dans le même panier.

Bien que les fonds de placement présentent des niveaux de risque différents (le fonds d’actions étant plus risqué), la nature diversifiée des titres est certainement un avantage au niveau de la prise de risque assumée par l’investisseur. Précisons qu’il est plus difficile pour un investisseur d’atteindre un tel niveau de diversification en investissant par lui-même dans divers titres.

Notons qu’il est essentiel de connaître le ratio entre le niveau de rendement et le risque des différents fonds communs avant d’arrêter son choix sur un de ceux-ci. D’ailleurs, il importe de mentionner qu’il est possible d’investir dans des comptes enregistrés, mais également non enregistrés (REER, CELI, FERR, CELIAPP, etc.).

Les désavantages d’un fonds commun

Le premier désavantage qu’il faut souligner concernant le fonds commun est l’absence de garantie, ceci impliquant la possibilité de ne pas récupérer une partie des sommes investies.

Dans un second temps, la nature même d’un fonds commun n’a pas que des avantages. En effet, l’intérêt de ce type de placement est d’orienter les décisions à prendre dans l’intérêt d’un groupe d’investisseurs. 

Pour cette raison, celles-ci ne sont pas nécessairement adaptées aux situations financières individuelles de chacun des investisseurs. Il est donc possible qu’un placement effectué à titre indépendant soit plus profitable financièrement pour certaines personnes. C’est précisément pourquoi il est important de choisir un fonds de placement adapté à vous et votre objectif d’investissement.

Enfin, la participation à un fonds commun de placement implique de payer divers frais, bien que leur importance et nature varient d’un fonds à un autre. Vous devez donc vous attendre à payer notamment des frais pour la gestion, l’exploitation et la tenue du compte de même que pour l’acquisition et la vente de parts. Devoir assumer l’ensemble de ces frais aura comme conséquence inévitable de diminuer les bénéfices financiers obtenus par les investisseurs.

 

L’application de Livsta permet de comparer parmi les meilleurs fonds communs disponibles au Canada et d’identifier ceux adaptés pour vous.

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Fonds commun de placement : le fonctionnement

Fonds commun de placement : le fonctionnement

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Comme il existe plusieurs produits financiers favorisant l’investissement, il peut être
difficile de tous les connaître! Qu’en est-il donc du fonds commun de placement et en
quoi consiste-t-il?

Fonds commun de placement : qu’est-ce que c’est?

Tel que son nom l’indique, ce produit regroupe les fonds de plusieurs investisseurs. Le fonds de placement regroupe plusieurs titres comme des obligations et des actions. Un gestionnaire est responsable de gérer le fonds et d’en maximiser les revenus au bénéfice des investisseurs.

 

Ce dernier s’assure également de la répartition des actifs dans le fonds afin d’atteindre l’objectif souhaité en guise de rendement. À noter qu’il existe deux types de gestion : passive et active.

 

La première vise à reproduire un portefeuille de placement similaire à un indice de référence dans l’optique d’atteindre un rendement comparable. La gestion active, pour sa part, vise le dépassement de cet objectif. Le gestionnaire de compte effectuera alors plus de transactions afin de profiter des fluctuations du marché. Précisons qu’il est possible de racheter ses titres auprès du fonds.

Fonds commun de placement : catégories et niveaux de risque

Étant donné que le fonds commun de placement regroupe différents types de placements, on considère que cela contribue à atténuer le risque de perte financière. Cela est un avantage certain, particulièrement pour les investisseurs dont la marge de manœuvre à cet effet est plus limitée.

 

Dans le même ordre d’idées, un fonds commun de placement ne requiert pas d’investir des sommes considérables. D’ailleurs, comme les fonds sont négociés à la valeur liquidative à chaque jour, ils sont abordables. Une fois de plus, il s’agit d’un avantage pour les investisseurs au profil prudent.

 

Néanmoins, il faut mentionner le fait qu’il existe plusieurs fonds communs : fonds du marché monétaire, fonds équilibrés, à revenu fixe, pour ne nommer que ceux-ci. De ce fait, le niveau de risque qu’ils posent sont différents et dépendent des titres que ceux-ci contiennent. Par le fait même, les bénéfices seront également divers : dividendes, intérêts, revenus de sources étrangères, gains en capital et bien d’autres.

 

Le choix d’un fonds de placement dépendra donc précisément de votre profil d’investisseur et de l’objectif poursuivi : la croissance des sommes investies, leur préservation ou bien la production d’un revenu régulier au fil du temps. Indépendamment du fonds commun de placement, il faut toutefois garder en tête qu’ils ne sont pas garantis.

Les distributions obtenues avec un fonds commun de placement

Les bénéfices engendrés par le fonds commun de placement seront répartis au prorata des parts détenues par les différents investisseurs dans le fonds et ce, au moment de la date de clôture des registres. Le versement de ces bénéfices peut avoir lieu à différentes fréquences dans l’année et varieront en fonction du type de fonds sélectionné.

 

Dans l’éventualité où la valeur liquidative du fonds aurait augmenté, le gestionnaire du fonds pourra décider s’il vend ou non le fonds commun de placement. S’il décide de ne pas le faire, les investisseurs pourront vendre eux-mêmes leur part afin de tirer profit de cette opportunité.

 

Vous souhaitez en savoir plus sur le fonds commun de placement et obtenir l’avis d’un professionnel de Livsta? Contactez-nous sans plus attendre!

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Est-ce que le CELIAPP va remplacer le RAP?

Est-ce que le CELIAPP va remplacer le RAP?

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Alors que le RAP continue de permettre à de nouveaux acheteurs de pouvoir
concrétiser leur rêve de faire l’acquisition d’une nouvelle propriété, le CELIAPP fait son
arrivée. Bien que comparables, ces deux outils ont des avantages distincts et certains
se demandent si le premier sera remplacé par le second.

RAP versus CELIAPP en 2023

Tout d’abord, il faut mettre de l’avant le fait que le CELIAPP limite à 8000$ la cotisation annuelle. Étant donné que le CELIAPP offre un plafond de cotisation se limitant à 40 000$, il sera nécessaire d’attendre 5 ans pour atteindre celui-ci. Le RAP, pour sa part, permet un accès plus rapide aux fonds, que vous ayez besoin d’un prêt REER ou non pour les avoir dans votre compte.

 

Le CELIAPP possède toutefois une caractéristique fort intéressante : le report possible des déductions aux années subséquentes. Voilà qui peut être particulièrement avantageux pour les jeunes professionnels dont le salaire peut augmenter substantiellement d’année en année.

 

Alors que le RAP offre la possibilité d’être utilisé à plus d’une reprise, cela n’est pas le cas pour le CELIAPP. Néanmoins, ce dernier n’implique aucun remboursement à effectuer, contrairement au RAP qui le requiert pour les fonds empruntés (un maximum de 35 000$) dans le REER dans un délai maximum de 15 ans.

 

Étant donné les limites imposées concernant la cotisation maximale de 8000$ par année au CELIAPP et l’idée admise que cet outil doit être utilisé à son maximum (40000$), le retrait des fonds disponibles ne pourra être effectué que dans 5 ans. Comme cette limite n’est pas imposée au RAP, lequel est plus permissif sur le retrait annuel, le RAP pourrait être plus avantageux pour les cinq années à venir. En effet, l’atteinte du plateau minimal de 35 000$ pour celui-ci permet une comparaison à armes égales entre ces deux outils d’épargne.

 

Il faut effectivement garder en tête que le retrait d’un CELIAPP n’est pas plafonné. De ce fait, le montant cumulé dans le compte finira par dépasser le montant maximal que l’on peut retirer avec le REER.

 

Dans un cas comme dans l’autre, le retrait sans imposition offert par le CELIAPP et le RAP est un avantage intéressant.

RAP ou CELIAPP en 2023

Bien que la perspective qui se dessine à l’horizon indique que le CELIAPP pourrait venir éclipser son homologue dans les années à venir, il est toujours préférable de tenir compte des conseils avisés et indépendants afin de prendre la meilleure décision possible. Cela est d’autant plus vrai que cette dernière implique de tenir compte de plusieurs facteurs dont :

 

● le moment prévu d’achat de la propriété (dans 5 ans ou moins) ;
● le montant de cotisation désiré (8000$ ou plus) ;
● le montant prévu comme mise de fonds (moins ou plus de 35 000$) ;
● votre souhait ou non d’investir dans vos REER entre le 1er janvier et le 1er mars.

 

Vous aimeriez profiter des conseils avisés et indépendants pour choisir le meilleur outil d’épargne en vue de l’achat de votre première propriété? Contactez-nous!

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Acheter une première maison : tout savoir sur le CELIAPP en 2023

Acheter une première maison : tout savoir sur le CELIAPP en 2023

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Acheter une première maison est certainement un projet dispendieux. Afin d’aider les premiers acheteurs à concrétiser ce projet, un nouveau produit sera disponible en 2023 : le CELIAPP. Que faut-il savoir à son sujet afin d’en tirer le meilleur profit possible?

Acheter une première maison grâce au CELIAPP

Tout d’abord, commençons par préciser que le CELIAPP s’adresse aux résidents canadiens entre 18 et 71 ans souhaitant acheter une première maison. Pour être admissible, il ne faut pas avoir été propriétaire au cours des quatre années précédant l’ouverture du compte. On peut y cotiser jusqu’à 40 000$ à raison d’un plafond de cotisation de 8000$ par année, ces sommes n’étant pas indexées au fil des ans.

 

Vous n’avez pas atteint le plafond de cotisation? Vous pourrez reporter les sommes inutilisées aux années suivantes, en autant de ne pas dépasser le maximum autorisé. Les cotisations possèdent l’avantage d’être déductibles du revenu. Un seul retrait non imposable est autorisé, à savoir celui utilisé dans le cadre de l’achat de la propriété. Les autres retraits que vous pourriez vouloir y faire seront imposés.

 

Comme il est possible de n’utiliser ce compte qu’une seule fois, il est recommandé de l’utiliser jusqu’à l’atteinte du plafond de 40 000$, d’autant plus que les sommes inutilisées peuvent tout simplement être transférées dans un REER ou bien dans un fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) et le tout, sans imposition.

 

Dans le même ordre d’idées, il faut choisir avec soin le moment où on souhaitera ouvrir le compte, car celui-ci ne pourra l’être pendant plus de 15 ans. En cas de décès, l’argent pourra être transféré au conjoint survivant sans être imposé. Ce dernier pourra le mettre dans son propre CELIAPP ou bien se prémunir de l’option consistant à transférer l’argent dans un REER ou un fonds enregistré de revenu de retraite.

RAP ou CELIAPP pour acheter une première maison?

Bien entendu, le principal avantage du CELIAPP est de permettre l’accumulation d’argent à l’abri de l’impôt dans l’optique d’acheter une première maison, au même titre que le RAP.

 

Toutefois et contrairement au RAP, le CELIAPP n’oblige pas le détenteur du compte à y remettre les sommes retirées. Il s’agit d’ailleurs d’une différence significative entre ces deux produits d’épargne aux visées comparables. Néanmoins, il ne peut être utilisé qu’une seule fois afin d’acheter une première maison contrairement au RAP.

 

Enfin, le CELIAPP pourrait permettre à quelqu’un vivant dans une maison appartenant à son conjoint de devenir propriétaire. Cela est tout à fait contraire au RAP qui interdit cette option si la personne a habité dans une maison appartenant à son conjoint au cours des quatre dernières années.

 

La bonne décision à prendre Comme la réalité financière de chaque personne diffère, l’aide d’un professionnel indépendant avisé sera la bienvenue pour le savoir. Contactez Livsta sans plus tarder!

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Les meilleures stratégies pour profiter du CELIAPP

Les meilleures stratégies pour profiter du CELIAPP

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Si l’objectif premier du CELIAPP en 2023 est de permettre à son détenteur d’accumuler
de l’argent à l’abri de l’impôt pour l’achat d’une première propriété, certaines stratégies
permettent d’en maximiser les bénéfices. Quelles sont-elles?

Les meilleures stratégies pour profiter du CELIAPP en 2023

Le transfert dans un REER

Bien que les fonds d’un CELIAPP devraient à la base être mis à profit pour acheter une première propriété, il est permis d’en transférer les fonds dans un REER. Comme cela est avantageux sur le plan fiscal, il s’agit d’une option à considérer. La cotisation de
8000$ qu’il est possible de faire chaque année jusqu’à l’atteinte du plafond de 40 000$ permet donc au détenteur du CELIAPP de profiter d’une déduction fiscale avantageuse, laquelle s’additionne à ses droits de cotisation REER.

 

Une fois le délai maximum d’ouverture du compte atteint (15 ans), il ne suffit que de transférer les fonds dans un REER. Une stratégie similaire consiste à faire la même chose, mais en attendant à l’âge de 65 pour ouvrir le CELIAPP. La cotisation de 8000$ pendant 5 ans permettrait d’atteindre la cotisation maximale de 40 000$, tout en ne dépassant pas l’âge maximum auquel il est possible de cotiser, soit 71 ans.

 

En tant que retraité, la déduction fiscale réduit le montant déclaré annuellement, ce qui pourrait permettre d’obtenir des montants plus élevés si vous retirez le Supplément de revenu garanti et la pension de la Sécurité de la vieillesse.

Faire un don à vos enfants ou à votre conjoint

Il peut s’avérer avantageux d’utiliser le CELIAPP en 2023 pour faire profiter son enfant de la déduction fiscale qu’il offre. Au même titre que pour quelqu’un qui utiliserait cet outil pour lui-même et compte tenu du fait qu’il ne peut être employé qu’une seule fois, il est préférable de l’utiliser jusqu’à l’atteinte du plafond maximal de 40 000$.

 

Il est également recommandé de prendre soin de répartir le don sur 5 ans afin de tirer le meilleur profit possible de la déduction fiscale. Bien entendu, il est également possible de faire un don similaire à son conjoint afin que celui-ci soit en mesure d’ouvrir également un compte à son nom.

Utiliser le CELIAPP jusqu’à son maximum

Tel que mentionné précédemment, le CELIAPP ne peut être utilisé qu’une seule fois et il offre une déduction fiscale avantageuse. De ce fait, il faut réitérer l’importance de l’employer jusqu’à l’atteinte du plafond maximal de cotisation.

Reporter au besoin les déductions pour les montants cotisés

Le CELIAPP permet le report des cotisations inutilisées (jusqu’à concurrence du maximum de 8000$ autorisé par année). Cela permet donc d’exploiter au maximum l’accumulation de fonds dans le CELI. En ce qui concerne les déductions, le CELIAPP fait preuve d’une souplesse avantageuse. En effet, celles-ci peuvent être reportées aux années subséquentes, bien qu’il soit possible de les demander pour l’année d’imposition en cours.

 

Vous aimeriez profiter de conseils avisés et indépendants pour l’ouverture d’un CELIAPP? Contactez-nous!

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Compte à intérêt élevé ou CELI?

Compte épargne à intérêt élevé et CELI : des objectifs différents

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Mettre de l’argent de côté est toujours une idée judicieuse, mais face à la panoplie de produits d’épargne qui existent, il peut être difficile de choisir celui ou ceux qui vous conviennent en fonction de votre situation financière.

 

Alors que l’on pense souvent devoir choisir entre un CELI ou un compte épargne à intérêt élevé, il faut savoir que leurs avantages respectifs peuvent en faire des produits d’épargne complémentaires. Cela est d’autant plus vrai qu’ils répondent à des objectifs d’épargne différents et qu’il est également possible d’ouvrir un compte épargne à intérêt élevé dans un CELI.

Un compte à intérêt élevé pour l’épargne au quotidien

Un compte à intérêt élevé est un produit d’épargne offrant un taux d’intérêt avantageux, mais tout de même imposable. Bien qu’il facilite au quotidien la gestion de l’argent qui doit être utilisé pour les frais de subsistance et celui réservé aux loisirs, cette imposition fiscale peut venir amoindrir l’épargne qu’il permet de faire. Néanmoins, il est possible de contrer ce problème en ouvrant le compte épargne à intérêt élevé à l’intérieur d’un CELI. De cette façon, les intérêts ne seront pas imposables.

 

Étant donné que ce type de compte n’impose aucune limite au niveau des cotisations et des retraits, l’argent est facilement accessible en tout temps. Pour cette raison, on considère qu’il s’agit d’un produit parfaitement adapté à la gestion quotidienne des dépenses courantes et parfois imprévues. Pour dénicher le meilleur compte épargne à intérêt élevé en fonction de vos besoins, veillez à demander conseil auprès d’un professionnel indépendant.

Un CELI pour l’épargne à moyen et long terme

Pour les projets à moyen ou long terme, le CELI s’avère tout indiqué. En effet, les intérêts obtenus grâce à celui ci ne sont pas imposables, ce qui maximise l’épargne obtenue. Bien qu’il existe un plafond de cotisation annuel, les droits de cotisation inutilisés peuvent être reportés aux années subséquentes sans problème.

 

Compte tenu du fait que le nombre de cotisations et de retraits est plus restreint que pour le compte à intérêt élevé, le CELI s’avère donc effectivement idéal pour les projets à moyen ou long terme qui ne demandent pas de faire beaucoup de retraits. Il permet de mettre des sommes considérables de côté, le tout sans impact fiscal si vous retirez de l’argent.

CELI, compte à intérêt élevé ou les deux?

Comme en fait foi leurs forces respectives, le CELI et le compte épargne à intérêt élevé sont des produits répondant à des besoins complémentaires. Comme l’épargne au quotidien est tout autant présente et importante dans notre vie que celle mise à l’œuvre pour des projets à plus long terme, on peut donc en conclure qu’ils sont des produits compatibles.

 

Cela est d’autant plus vrai si on garde en tête que l’ouverture d’un compte épargne à intérêt élevé dans un CELI est possible. Ainsi, si vous avez un montant important investi pour un besoin dans les prochains mois et que le taux d’intérêt que vous obtenez sur un CEIE est intéressant, il peut être avantageux d’ouvrir un CEIE dans un CELI et ainsi éviter de payer de l’impôt sur les revenus perçus en intérêts.

 

Vous aimeriez profiter des conseils avisés pour l’ouverture d’un compte épargne à intérêt élevé ou d’un CELI? Contactez nous!

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