Achat d’une première maison et mauvais crédit : est-ce possible?

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Achat d’une première maison et mauvais crédit : est-ce possible?

Bien qu’avoir une mise de fonds suffisante soit un prérequis pour l’achat de sa première maison, d’autres facteurs comme le dossier de crédit entrent également en ligne de compte. Plusieurs acheteurs ayant un mauvais crédit peuvent tout de même envisager de concrétiser leur rêve, bien que le chemin pour y arriver puisse être différent.

Dossier de crédit : pourquoi est-ce important?

Votre dossier de crédit donne un bon aperçu de votre santé financière. De ce fait, un dossier de crédit en mauvaise santé peut inquiéter un prêteur éventuel qui verra en vous un risque plus élevé de ne pas être remboursé. Il faut savoir qu’un dossier dont le pointage de crédit variera entre 300 et 900 points, le score le plus élevé étant le meilleur. On juge qu’en dessous de 600 points, il devient plus compliqué d’obtenir un prêt hypothécaire.

Cela est d’autant plus vrai si vous êtes en dessous de 525 points. Notez qu’une cote de crédit allant de R1 à R9 sera également attribuée à votre dossier, cette dernière reflétant la rapidité avec laquelle vous payez vos factures.

Les options disponibles pour acheter une première maison

Magasiner auprès de plusieurs prêteurs

La première réalité à laquelle il faut faire face si vous souhaitez faire l’achat d’une première maison tout en ayant un mauvais crédit est la nécessité de devoir magasiner votre prêt hypothécaire auprès de plusieurs institutions.

Bien que ces dernières aient des critères d’admissibilité souvent comparables, certaines peuvent s’avérer moins sévères que d’autres. Voilà pourquoi faire preuve de persistance dans vos recherches s’avère être une bonne idée.

Ayez recours à un endosseur

Le recours à un endosseur pourrait faire toute la différence entre votre capacité et votre incapacité à acheter une première maison. En demandant à un proche de vous endosser, il faut savoir que cette personne sera celle vers qui la banque se tournera en cas de défaut de paiement de votre part.

Il convient donc d’avoir une bonne discussion avec la personne concernée afin que cette dernière comprenne bien les implications de cette aide. Soulignons qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un lien de parenté avec cette personne pour qu’elle devienne votre endosseur.

Optez pour la location avec achat optionnel

Bien que l’on ne pense pas d’emblée à cette option, celle-ci peut s’avérer profitable. Elle permet de louer une maison tout en ayant la possibilité de l’acheter une fois le contrat de location terminé.

Vous pourrez profiter du confort d’une maison, bien que vous n’en soyez pas immédiatement propriétaire. Pendant la durée de la location, il est toutefois nécessaire de prendre les mesures nécessaires pour améliorer votre crédit afin de pouvoir concrétiser votre rêve de faire l’achat de votre première maison.

Quelles sont les solutions disponibles pour acheter une maison au Canada malgré un mauvais crédit? Notre application pourra vous aider à mettre en place de saines habitudes financières.

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Acheter une première maison : tout savoir sur la mise de fonds

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Acheter une première maison : tout savoir sur la mise de fonds

L’achat d’une première maison s’accompagne de nombreuses dépenses, dont la plus importante est certainement la mise de fonds. En quoi consiste-t-elle exactement?

Mise de fonds inférieure à 20% et assurance prêt hypothécaire

Pour acheter une première maison, vous devrez obligatoirement verser une mise de fonds. Cette dernière doit représenter entre 5 et 20% de la valeur de la propriété. Si vous versez une mise de fonds inférieure à 20%, vous devrez payer une assurance prêt hypothécaire.

Pourquoi cette contrainte? En versant une plus petite mise de fonds, les prêteurs considèrent que vous représentez un plus grand risque et que vous êtes donc plus susceptible de ne pas pouvoir payer votre prêt hypothécaire. Il s’agit d’une exigence de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

Le coût de l’assurance hypothécaire

Combien coûtera cette assurance prêt hypothécaire? Le montant à payer consiste en un pourcentage du montant total du prêt hypothécaire. Plus la différence est élevée entre le prix de la maison et le prêt octroyé pour acheter votre première maison et plus haute sera le montant de la prime que vous devrez verser au prêteur. Sachez que le coût de la prime sera ajouté au montant du prêt hypothécaire, ce qui implique de payer des intérêts sur l’un et l’autre.

Bien que cette prime consiste en une dépense de plus à assumer, cela vous permet tout de même de passer plus rapidement du statut de locataire à propriétaire et de pouvoir enfin acheter votre première maison. Également, les frais d’intérêts encourus sur le prêt sont habituellement moins élevés, au même titre que les frais d’administration.

Amasser la mise de fonds pour l’achat de votre première maison

Pour amasser la somme requise pour votre mise de fonds, plusieurs options s’offrent à vous. En effet, plusieurs outils d’épargne comme le compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP) et le régime d’accession à la propriété (RAP) peuvent faciliter votre démarche.

Le CELIAPP

Le CELIAPP peut vous aider à cumuler de l’argent à l’abri de l’impôt (jusqu’à 40 000$) tout en profitant de déductions fiscales avantageuses. À noter que les cotisations maximales annuelles (8 000$) peuvent être reportées aux années subséquentes et que le compte peut demeurer ouvert pendant 15 ans.

Le RAP

De son côté, le RAP vous donne l’opportunité d’emprunter jusqu’à 35 000$ de votre REER. Ce retrait est non imposable en autant qu’il serve à acheter une première maison. Il sera toutefois nécessaire de remettre les fonds dans votre REER. Pour ce faire, vous aurez un maximum de 15 ans. Précisons que le remboursement doit débuter à partir de la deuxième année suivant le retrait des fonds.

Acheter la maison d’un proche

Pour acheter une première maison, l’acquérir d’un proche peut également être avantageux. En effet, si celui-ci vend cette propriété à une valeur inférieure à celle du marché, la différence entre le prix de vente et la valeur marchande sera considérée comme un don d’équité. Ce dernier agit alors en tant que mise de fonds, ce qui vous évite la nécessité d’amasser celle-ci.

Bien que cette option ne soit pas chose possible pour l’ensemble des gens qui souhaitent acheter leur première maison, il n’en demeure pas moins qu’elle mérite d’être mise de l’avant.

L’application de Livsta vous permettra de comparer les options qui s’offrent à vous pour accumuler la mise de fonds requise pour l’achat d’une première maison.

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Subventions et incitatifs pour acheter sa première maison

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Subventions et incitatifs pour acheter sa première maison

Acheter sa première maison est certainement un projet dispendieux. Heureusement, plusieurs aides financières existent pour vous aider à trouver les fonds nécessaires à l’achat de cette première maison.

Le CELIAPP pour acheter sa première maison

Ce produit d’épargne a fait son arrivée en 2023 et permet à de nouveaux acheteurs qui n’ont pas été propriétaires au cours des quatre dernières années de cotiser jusqu’à 40 000$ à l’intérieur de ce compte. Il est possible d’y verser jusqu’à 8 000$ par année et les cotisations inutilisées peuvent être reportées aux années subséquentes.

Précisons que cette somme n’est pas imposable, mais qu’un seul retrait non imposable est permis (celui effectué pour l’achat de la propriété). Vous avez accumulé plus d’argent que nécessaire dans ce compte? Vous pouvez tout simplement transférer les fonds inutilisés dans un REER ou un FERR.

Le compte peut être ouvert pendant un maximum de 15 ans. Enfin, soulignons que le CELIAPP ne peut être utilisé qu’une seule fois. Deux conjoints souhaitant optimiser leur épargne peuvent ouvrir chacun de leur côté un CELIAPP.

Fait intéressant : vous pourrez transférer les fonds d’un REER vers le CELIAPP et ce, sans impact fiscal. Néanmoins, vos droits de cotisation au CELIAPP seront réduits et vous ne pourrez pas récupérer les droits de cotisation au REER.

Acheter sa première maison grâce au RAP

Pour sa part, le RAP permet de retirer jusqu’à un maximum de 35 000$ de ses REER afin d’utiliser cet argent pour acheter une première maison. Il sera toutefois nécessaire d’y remettre les fonds retirés dans un délai maximum de 15 ans.

Afin d’utiliser les fonds dans le REER, ceux-ci doivent s’y trouver depuis au moins 90 jours. Contrairement au CELIAPP, il est possible d’utiliser le RAP à plus d’une reprise (en autant que vous n’ayez pas été propriétaire au cours des quatre dernières années).

Au même titre que pour le CELIAPP, vous ne serez pas imposé sur l’argent retiré. À noter que deux conjoints peuvent utiliser le RAP en même temps afin de maximiser l’épargne obtenue pour acheter une première maison.

Montant pour l’achat d’une habitation

Il est possible d’obtenir un crédit d’impôt pour acheter une première maison. Le montant pour l’achat d’une habitation vous permet de réduire la somme payée en impôts si vous faites l’acquisition d’une propriété admissible. Également, vous devez ne pas avoir été propriétaire (vous ou votre conjoint) au cours des quatre années précédentes.

Le remboursement des taxes sur les maisons neuves

Vous pouvez également profiter du remboursement des taxes sur les maisons neuves, si évidemment il s’agit d’une maison nouvellement construite. Dans ce cas, vous pouvez demander un crédit d’impôt allant jusqu’à 750$.

De plus, un remboursement partiel ou total des taxes (taxe de vente provinciale et TPS) peut être demandé pour une maison neuve ou rénovée de façon majeure. Pour y avoir droit, l’habitation doit être construite dans l’optique de servir de résidence principale à au moins un des deux conjoints ou à un de leur proche.

Quels sont les divers incitatifs disponibles pour vous aider à concrétiser votre rêve de devenir enfin propriétaire? L’application de Livsta pourra vous renseigner concernant les options qui s’offrent à vous.

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Comment faire l’achat de sa première maison

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Comment faire l’achat de sa première maison

Faire l’achat d’une première maison est certainement un projet de grande envergure. Les étapes à suivre pour le concrétiser peuvent sembler vagues pour de nouveaux propriétaires, à la fois emballés et stressés de se lancer dans l’aventure.

Afin que tout se déroule bien, il importe justement de bien connaître les étapes à prévoir pour faire de ce rêve une réalité et acheter une première maison.

La capacité d’emprunt et la mise de fonds

De prime abord, vous devez évaluer votre capacité d’emprunt. Cela vous permettra de cibler des propriétés convenant à votre budget. Pour ce faire, il sera utile d’obtenir une pré-autorisation hypothécaire à l’aide d’un professionnel ou d’une application de confiance offerte par certaines institutions financières. Ensuite, vous pourrez ainsi déterminer le montant nécessaire en guise de mise de fonds pour faire l’achat d’une première maison.

Bien qu’il soit possible de faire l’achat d’une première maison avec une mise de fonds équivalent à 5% de sa valeur, vous devez tenir compte du fait qu’une mise de fonds inférieure à 20% exige de votre part de recourir à une assurance prêt hypothécaire auprès de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL).

Plusieurs programmes intéressants et avantageux comme le RAP et le CELIAPP peuvent vous aider à trouver les fonds nécessaires pour amasser cette mise de fonds si vos placements actuels et vos liquidités sont insuffisants.

La préautorisation hypothécaire

Une préautorisation hypothécaire vous permettra de confirmer officiellement le montant auquel vous avez droit pour l’achat d’une première maison. Aux yeux des vendeurs, cela prouve le sérieux de votre démarche et se veut une preuve que vous avez les moyens de vos ambitions. Notez qu’une préautorisation vous donnera également la chance de garantir votre taux d’intérêt pendant un certain temps (souvent trois mois).

Les frais relatifs à l’achat d’une première maison

Hormis le coût de la propriété en elle-même et celui de la mise de fonds, d’autres frais accompagnent la décision d’acheter une première maison. Ceux-ci sont nombreux et peuvent facilement faire grimper le coût de la facture :
Il est donc requis de faire le bilan de ces frais supplémentaires pour ne pas avoir de mauvaises surprises sur le plan financier.

Cerner vos besoins avant l’achat d’une première maison

Il importe de vous questionner par rapport à vos besoins concernant cette propriété. Si certains aiment les rénovations et l’idée de mettre à leur goût une maison en manque d’amour, d’autres ne partagent pas cet enthousiasme et préfèrent l’acquisition d’une maison clé en main.

Également, demandez-vous si vous êtes prêt à assumer l’entretien que nécessite une maison. Si les efforts demandés pour garder le terrain et la maison en bon état vous semblent trop importants, peut-être que l’achat d’un condo serait plus avisé. Enfin, veillez à songer à l’environnement qui vous intéresse et aux commodités desquelles vous souhaitez vous rapprocher.

Faites une offre d’achat

Il est maintenant temps de faire une offre d’achat. Cette tâche est souvent effectuée par un courtier immobilier. Ce dernier veillera à inclure dans ce document diverses informations dont les biens inclus et exclus de la transaction, le coût d’achat de la propriété, la date de prise de possession de même que les conditions mises en place pour confirmer la transaction (comme l’inspection de la maison).

L’application de Livsta vous permettra de comparer les options qui s’offrent à vous pour accumuler les fonds nécessaires à l’achat de votre première maison.

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Acheter une maison sans mise de fonds : 5 alternatives

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Acheter une maison sans mise de fonds : 5 alternatives

L’achat d’une première maison implique de trouver l’argent nécessaire pour le paiement de la mise de fonds, laquelle doit atteindre minimalement 5% de la valeur de la propriété. Comme il s’agit d’une somme représentant plusieurs milliers de dollars, il peut être ardu d’amasser celle-ci. Que faire dans une telle situation?

Acheter sa première maison sans mise de fonds avec le RAP

Le régime d’accession à la propriété vous permet d’utiliser jusqu’à 35 000$ de vos REER pour payer votre mise de fonds. Précisons que ce retrait n’est pas imposé, à moins que la somme retirée des fonds excède 35 000$. Si tel est le cas, vous serez alors imposé sur le montant qui dépasse cette somme. Dans le cas où vous n’auriez pas actuellement assez de fonds dans votre REER, vous pouvez demander un prêt REER.

Dans un cas comme dans l’autre, vous devrez toutefois rembourser dans vos REER la somme empruntée. Pour ce faire, vous aurez un maximum de 15 ans et vous devrez commencer le remboursement à partir de la deuxième année. Ce retrait sans imposition vous permettra d’avoir les fonds nécessaires pour payer une mise de fonds idéale de 20%.

Le CELIAPP pour accumuler sa mise de fonds

Le CELIAPP vous donne l’opportunité de cumuler 8000$ en cotisations dans un compte à l’abri de l’impôt et ce, jusqu’à un maximum de 40 000$. Le compte peut demeurer ouvert pendant un maximum de 15 ans.

Suite au retrait des fonds du CELIAPP (sans imposition) pour payer votre mise de fonds, la portion inutilisée peut être transférée dans un REER ou un FERR. Notons que les cotisations sont déductibles d’impôt, ce qui représente un avantage certain sur le plan fiscal.

Acheter la maison d’un proche sans mise de fonds

Bien que cela ne soit pas toujours une possibilité, acheter la maison d’un proche peut vous exempter de la nécessité de payer une mise de fonds au sens propre du terme. En fait, on considère que cette mise de fonds peut prendre la forme d’un don d’équité sur la valeur de la propriété. En vendant une maison à un prix inférieur de 20% à celui du marché, on considère que la mise de fonds est en quelque sorte payée.

Les programmes municipaux

Plusieurs programmes municipaux visent à aider les gens à acheter leur première maison. En effet, plusieurs grandes villes comme Laval, Québec et Montréal ont une offre assez diversifiée en la matière : remise sur les droits de mutation, crédit d’achat ou crédit d’ascension (prêt sans intérêt).

Ce dernier est d’ailleurs offert par l’intermédiaire du Programme accès famille Québec. Il offre la possibilité aux nouveaux acheteurs de profiter d’un prêt dont la valeur est équivalente à 5.5% de la valeur de la maison convoitée.

Refinancer un immeuble

Si vous avez déjà la chance d’être propriétaire d’un immeuble et qu’une portion du capital est remboursée, cela signifie que vous avez cumulé de l’équité sur la propriété. Dans ce cas, vous pouvez utiliser ce montant afin de payer votre mise de fonds.

L’application de Livsta peut vous aider à comparer les alternatives qui s’offrent à vous pour acheter votre maison sans mise de fonds.

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L’assurance santé : quels sont les avantages?

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L’assurance santé : quels sont les avantages?

Apprendre que l’on souffre d’une maladie grave est une nouvelle toujours difficile à encaisser. Cela implique un grand nombre de bouleversements : un état de santé plus fragile avec lequel il faut apprendre à vivre, mais également de nouveaux frais à assumer. Que ce soit en raison de nouveaux médicaments à prendre ou bien des absences requises pour les rendez-vous médicaux, les dépenses s’accumuleront.

Le recours à une assurance santé pourrait être d’un grand secours dans ce cas. Quels sont donc les avantages de ce type d’assurance?

La couverture des dépenses non couvertes

Comme la majorité des citoyens sont couverts par le régime d’assurance maladie du gouvernement et/ou par une assurance soins de santé collective, il est possible que vous remettiez en question l’importance de recourir à une assurance santé.</br></br>
Bien que ces assurances couvrent effectivement de nombreuses dépenses, la couverture offerte peut être insuffisante lorsque les frais sont particulièrement élevés et ne pas s’avérer avantageuse pour la couverture de divers soins. Le rôle d’une assurance santé personnelle sera donc de prévoir une couverture adéquate pour le paiement :

Comme il s’agit d’un montant forfaitaire, l’usage des fonds est à votre discrétion. Vous pourrez l’utiliser pour vous aider à passer au travers de cette période difficile sans compromettre votre santé financière et celle de vos proches.

La meilleure couverture sera celle en mesure de répondre précisément à vos besoins. Pour cette raison, l’opinion éclairée d’un professionnel en la matière vous sera d’une grande aide pour dénicher l’assurance santé la plus avantageuse pour vous.

La couverture des dépenses quotidiennes par l’assurance santé

Hormis le paiement des frais médicaux, le montant offert par votre assureur peut également servir au paiement des dépenses courantes. Ces dernières incluent l’hypothèque, l’épicerie, les divers comptes, de même que les services vous permettant d’assumer vos obligations familiales (comme l’entretien ménager).

La préservation de votre santé financière

Comme les conséquences financières résultant d’un problème de santé peuvent être majeures, une assurance santé personnelle vous assure de préserver votre équilibre financier. Cela est d’autant plus important que ce dernier est souvent garant du bien-être des autres membres de votre maisonnée.

Précisons qu’elle peut être combinée à une assurance collective, de même qu’à d’autres types d’assurances afin de maximiser la protection dont vous profitez. Vous aimeriez souscrire à une assurance santé adaptée à votre situation personnelle? Un professionnel de Livsta pourra vous assister dans cette démarche.

L’application de Livsta vous permettra d’établir votre besoin d’assurance santé afin de choisir la mieux adaptée à vos besoins.

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L’assurance invalidité : comment fonctionne-t-elle?

L’assurance invalidité : comment fonctionne-t-elle?

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Comme la vie est incertaine, une maladie ou une blessure peut vous imposer un repos forcé et vous empêcher temporairement d’assumer vos obligations personnelles. Malheureusement, ce moment d’arrêt ne s’applique pas au paiement des comptes et autres obligations financières. Voilà où entre en jeu l’importance d’avoir une assurance invalidité, possiblement avant même d’avoir une bonne assurance vie.

L’assurance invalidité en bref

En obtenant une assurance invalidité, une portion de votre salaire est assumée par l’assurance jusqu’à votre retour au travail. Une période d’attente s’impose avant de commencer à toucher les prestations, celles-ci débutant après le début de votre  invalidité. 

 

Cette période de carence peut être choisie au moment de souscrire à une assurance invalidité. Plus le délai est court, plus l’assurance est dispendieuse. Par exemple, un délai de 30 jours avant le début du paiement de l’indemnité coûtera plus cher qu’un délai de 90 jours. 

Le montant des prestations reçues, c’est-à-dire l’argent reçu pour remplacer votre salaire, doit faire du sens en fonction de votre salaire actuel. Précisons que ce montant ne peut être supérieur au salaire que vous gagnez. 

 

Logiquement, il ne peut pas être plus payant d’être invalide que de continuer à travailler. C’est d’ailleurs votre assureur et non pas votre médecin qui décidera si vous êtes réellement couvert par votre police d’assurance. Celui-ci basera sa décision sur les modalités au contrat et la cause de votre invalidité.

La durée de l’indemnisation dépendra de la durée de votre invalidité, mais également de la durée des paiements de prestations que vous avez choisi au moment de prendre votre contrat d’assurance. L’indemnisation peut durer de 2 à 10 ans et se prolonger jusqu’à l’âge de 65 ans pour l’invalidité de longue durée.

Des couvertures d’assurance invalidité variées

Au moment de choisir une assurance invalidité, vous aurez le choix entre des options très diverses. Certaines vont offrir :

  • un délai de carence plus ou moins long (délai d’attente avant de toucher les prestations)
  • une couverture de courte durée et/ou de longue durée 
  •  la possibilité de préserver la police si vous changez d’emploi 
  • une couverture spécifique en fonction de votre type d’emploi ou de votre salaire (travailleurs autonomes, professionnels rémunérés à l’acte ou entrepreneurs) 
  • des primes qui ne monteront pas
  • la possibilité de ne pas payer les primes lors de l’invalidité 
  • la possibilité d’être exempté de l’obligation de passer un examen médical

Soulignons que certaines polices d’assurance s’appliquent dès qu’un individu est incapable d’effectuer les obligations relatives à son poste, alors que d’autres polices vont exiger que la personne soit incapable de travailler (indépendamment du type d’emploi).

L’assurance invalidité de courte durée

L’assurance invalidité de courte durée est celle qui entre en vigueur en premier. Elle couvre habituellement moins de 70% du salaire de la personne assurée et protège cette dernière pendant un maximum de plusieurs mois.

 

Pour plusieurs, l’assurance invalidité de courte durée est couverte par l’assurance-emploi offerte par le gouvernement ou par un régime d’assurance collective avec l’employeur. Un fonds d’urgence que vous avez constitué et que vous pourrez utiliser si un malheur survient est également une façon de vous protéger d’une courte invalidité.

L’assurance invalidité de longue durée

Une fois cette protection terminée ou la fin des prestations d’assurance-emploi, c’est l’assurance invalidité de longue durée qui entre en vigueur (si vous en avez une). Le montant offert consistera en un pourcentage prédéterminé de votre salaire. Si vous avez payé 100% de votre assurance, vous ne devriez pas être imposé sur cette somme. Dans le cas où votre employeur a payé les primes, vous devrez payer de l’impôt.

 

Rappelons que l’indemnisation peut durer de 2 à 10 ans et se prolonger jusqu’à l’âge de 65 ans pour l’invalidité de longue durée. Si vous avez une assurance collective qui dure 10 ans, il peut être sage d’obtenir une assurance complémentaire jusqu’à votre retraite.

L’assurance invalidité : une deuxième protection nécessaire

S’il est vrai que les travailleurs sont habituellement protégés par divers programmes gouvernementaux (RRQ, RPC, assurance salaire, régime d’indemnisation provincial) advenant une incapacité à travailler, la protection qu’ils offrent ne répond pas nécessairement aux besoins précis et particuliers de chacun.

 

La même idée s’applique à ceux qui sont protégés par une couverture d’assurance collective offerte par leur employeur. Souvent, celle-ci ne peut être modifiée et ne couvre que l’invalidité de courte durée. Il sera donc nécessaire de recourir à une assurance complémentaire afin de profiter d’une couverture optimale.

 

En cas d’invalidité, vous pourriez avoir droit à la fois au régime public d’indemnisation (Retraite Québec, CNESST ou SAAQ) et au régime privé. Notez que certaines polices peuvent allouer un montant moindre en guise d’indemnisation si cela est le cas.

Un professionnel de Livsta pour vous aider

Quoi qu’il en soit, l‘assurance invalidité devrait être votre priorité en ce qui a trait aux assurances puisqu’elle assure votre qualité de vie. Vous aimeriez valider si vous êtes bien couvert? 


L’application de Livsta vous permet de comprendre votre besoin, d’évaluer vos protections actuelles et de voir s’il y a un manque à combler. Un professionnel de notre équipe peut toujours se rendre disponible pour vous éclairer.

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Tout savoir sur l’assurance vie

Tout savoir sur l’assurance vie

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Nous sommes tous au fait de l’importance d’avoir une assurance vie afin de protéger nos proches des conséquences financières qui surviennent malheureusement au moment d’un décès. Bien qu’il soit peu réjouissant d’y songer, il est indispensable d’être bien renseigné afin de profiter d’une bonne protection.

L’assurance vie permanente et l’assurance vie temporaire

Une assurance vie est une catégorie d’assurance qui offre une protection financière aux bénéficiaires désignés dans le contrat. Elle se divise en deux catégories : l’assurance vie temporaire et l’assurance vie permanente

La première différence entre les deux est la durée de couverture. Alors que l’assurance vie permanente couvre l’assuré toute sa vie, l’assurance vie temporaire possède une durée plus courte et définie au contrat. Elle peut donc couvrir 10, 15 ou 20 ans, tout dépendamment des besoins précis de l’assuré.

Également, le coût des primes et la façon dont celui-ci est fixé sera différent. Pour une assurance vie temporaire, le prix sera moins élevé. Voilà qui fait beaucoup de sens, si on tient compte de la durée plus courte de la couverture. Toutefois, le prix va habituellement augmenter à chaque renouvellement de la couverture, car votre âge actuel sera celui qui sera considéré pour fixer le coût des primes. 

 

Cela est différent pour les primes de l’assurance vie permanente, lesquelles sont garanties et fixes durant toute la durée prévue au contrat. En raison du fait que cette dernière s’étend jusqu’au décès de l’assuré, le coût des primes sera plus élevé. 

Choisir entre l’assurance vie permanente ou temporaire

Comment choisir entre les deux? Si l’option de prendre une assurance vie permanente semble aller de soi, il faut garder en tête qu’une couverture temporaire est souvent une option plus appropriée. 

Il est vrai que les conséquences financières de votre décès peuvent être considérables : vos enfants doivent payer leurs études sans votre aide ou votre conjointe doit payer l’hypothèque de la maison et tous les frais qui accompagnent le fait d’avoir des enfants jusqu’à leur départ du nid familial. 

 

La question qui se pose alors est la suivante : pendant combien de temps ce fardeau pèsera-t-il sur les épaules de mes proches. Admettant que vos enfants devraient raisonnablement avoir terminé leurs études après un certain nombre d’années et que le paiement de l’hypothèque n’excédera pas 25 ans, l’obtention d’une assurance qui assure une protection au-delà de cette période devient questionnable.

Le choix de la personne assurée

Bien que l’on prenne souvent une assurance vie sur sa propre personne, il est possible d’en prendre une sur la vie de quelqu’un d’autre. Si cette dernière option est retenue, il sera requis d’obtenir sa permission, à moins que la personne en question présente un intérêt pour vous. Il peut s’agir d’un membre de la famille, d’un ami ou d’un associé.

 

Dans quelles situations peut-il être une bonne idée de prendre une assurance vie pour un proche? Dans le cas d’une famille, la perte d’un des deux parents s’accompagne souvent de la perte d’un salaire. 

Advenant ce triste événement, il peut être difficile pour le conjoint survivant d’assumer à lui seul l’ensemble des dépenses de la vie courante, incluant l’hypothèque et tous les frais associés à l’éducation des enfants. Prendre une assurance sur la vie de son conjoint évite de se retrouver dans une situation précaire sur le plan financier lors de ce type de situation. 

 

En ce qui concerne l’assurance prise sur sa propre personne, celle-ci pourra aider vos proches à assumer ces mêmes dépenses, incluant les frais relatifs à vos funérailles. Bien que l’on préfère ne pas y penser, vaut mieux l’avoir prévu pour éviter d’inutiles soucis à vos proches. 

Le choix des bénéficiaires

Bien que vous puissiez désigner les bénéficiaires de votre choix, ceci incluant vous-même ou bien un enfant à naître, un assureur pourrait exiger que vous ayez un lien avec la personne en question.

Précisons qu’il est toujours possible de changer le ou les bénéficiaires désignés par la suite. Néanmoins, il est nécessaire d’obtenir la permission de la personne si celle-ci est désignée comme un bénéficiaire irrévocable ou bien s’il s’agit de votre conjoint avec lequel vous êtes marié ou uni civilement (à moins que celui-ci soit désigné comme étant révocable).

Au moment d’effectuer les démarches relatives à l’obtention d’une assurance vie, vous devrez fournir une déclaration sur l’état de santé des assurés. Il est indispensable de faire preuve d’honnêteté à cette étape, faute de quoi vous pourriez voir votre contrat tout simplement annulé.

Comment obtenir l’indemnisation

Pour obtenir l’indemnisation, il sera nécessaire de fournir une preuve du décès de la personne. L’indemnité sera alors payée dans les semaines suivant la réception des documents.

Livsta : pour une assurance vie adaptée à vos besoins

Il peut être difficile d’évaluer soi-même en quoi consiste la couverture d’assurance vie adaptée à ses besoins. Qui plus est, une opinion désintéressée en la matière est aussi difficile à obtenir puisqu’une assurance plus coûteuse est habituellement plus payante pour celui qui la vend.

 

Voilà tout l’intérêt de l’application Livsta, qui vous permet de cerner le montant dont vous avez réellement besoin pour protéger vos proches et vous-même des conséquences d’un décès. En magasinant sur notre plateforme, vous pourrez faire la comparaison entre les diverses options disponibles sur le marché et profiter des protections qui s’appliquent à votre situation.

 

L’application de Livsta vous permettra de connaître le montant d’assurance dont vous avez besoin et de comparer les différents prix afin de trouver celle qui convient le mieux à votre situation personnelle. 

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En quoi consiste une marge de crédit?

En quoi consiste une marge de crédit?

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Plusieurs projets comme la réalisation de rénovations ou un retour aux études requièrent des fonds importants. Une marge de crédit est une source de financement intéressante pour quiconque souhaite trouver les fonds nécessaires afin de les mener à terme. Comment ce type de produit financier fonctionne-t-il?

Le fonctionnement d’une marge de crédit personnelle

De façon simplifiée, une marge de crédit est un montant préautorisé que vous pouvez utiliser à votre guise, au moment de votre choix. Offerte à un taux d’intérêt qui peut varier selon votre institution financière, la marge de crédit permet de mener à terme des projets dispendieux pour lesquels il peut être ardu de trouver les fonds.

 

Il n’est pas nécessaire d’utiliser la totalité de la somme empruntée en une seule occasion. Les intérêts encourus sur ce type de prêt ne sont appliqués que sur la portion de l’argent utilisé. Au fil du temps, vous devez rembourser votre marge de crédit en assurant le paiement minimum fixé par votre institution. 

 

Bien entendu, vous pouvez effectuer des paiements plus élevés si vous le souhaitez. Certaines institutions offrent la possibilité de ne rembourser mensuellement que les intérêts. Tant et aussi longtemps que des fonds sont disponibles sur la marge de crédit et que sa limite n’est pas atteinte, il est possible d’emprunter. 

Marge de crédit étudiante ou prêt étudiant?

La marge de crédit étudiante fonctionne selon le même principe que la marge de crédit de base. Comme les étudiants ont accès aux prêts étudiants, il peut être difficile pour ceux-ci de choisir judicieusement une de ces options. Les différences entre les deux sont importantes.

 

Le prêt étudiant offre un montant déterminé, lequel devra être remboursé en totalité à la fin des études. À ce montant, s’ajoute la somme des intérêts encourus pendant celles-ci. Les intérêts s’appliquent sur la totalité du montant mis à disposition. Tant et aussi longtemps que vous êtes sur les bancs d’école, aucun remboursement n’est toutefois demandé. 

 

De son côté, la marge de crédit implique de rembourser au minimum les intérêts durant les études. Vous pouvez décider d’utiliser le montant en totalité ou bien partiellement, ce qui permet d’éviter l’accumulation de beaucoup d’intérêts. Également, le taux d’intérêt offert est parfois plus bas que pour le prêt étudiant.

La marge de crédit hypothécaire

La marge de crédit hypothécaire se décline en deux catégories : la marge de crédit combinée à une hypothèque et la marge de crédit hypothécaire indépendante. La première fait partie intégrante d’une hypothèque à terme fixe, tandis que la seconde n’est liée à aucune hypothèque.  

 

Une marge de crédit hypothécaire indépendante vous permettra de tirer profit de la portion du capital de la maison qui est payée pour financer vos projets. Pour y avoir accès, la mise de fonds devrait être de 35%. Le financement offert sera donc d’un maximum de 65% de la valeur de la propriété. Il est important de souligner que ces ratios peuvent varier selon l’institution et la personne qui emprunte. 

 

Si la marge de crédit est liée à une hypothèque, elle sera combinée au prêt offert pour celle-ci. Pour l’obtenir, le versement d’une mise de fonds d’au moins 20% est nécessaire. À titre d’exemple, un prêt s’élevant à 15% de la valeur de la maison permettrait d’obtenir une marge hypothécaire de 65%.

 

La marge hypothécaire couvrira alors 65% de la valeur de la maison, alors que le prêt couvrira la portion restante, soit 15%. Le financement possible est donc d’un maximum de 80%.

La marge de crédit est-elle une source de financement convenant à votre situation financière et à vos besoins? Pour le savoir, notre application vous aidera à obtenir une vision complète des solutions financières adaptées à vos projets de vie.

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Quelle différence entre une obligation et une action en bourse?

Quelle différence entre une obligation et une action en bourse?

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Afin d’investir en bourse, il importe de connaître certaines notions de base et de maîtriser le vocabulaire utilisé. Pour tirer le meilleur profit possible de vos investissements, la nuance entre une action en bourse et une obligation doit assurément être éclaircie, mais quelle est-elle?

Obligation et action en bourse : comment les différencier

La première différence significative à mettre de l’avant concernant ces deux notions est le type de titre qui s’y rattache. Une obligation est un titre de créance. Cela signifie que vous devenez le créancier d’une entreprise et que vous prêtez votre argent à cette dernière en échange de la garantie de récupérer le capital investi lorsque le prêt arrive à échéance. Vous obtenez également des intérêts en échange de celui-ci, lesquels sont versés régulièrement.

 

En cas de faillite, vous serez dédommagé avant les actionnaires. Par contre, ce sont ces derniers qui pourront profiter du gain en capital de l’entreprise et donc, de l’augmentation de sa valeur.

 

Si vous faites l’achat d’actions en bourse, vous obtenez un titre de participation. Par le fait même, vous détenez des parts dans l’entreprise. Comme vous êtes actionnaire, vous possédez un droit de vote au sein de celle-ci lorsque des décisions importantes doivent être prises. 

 

Contrairement aux obligations, les actions vous donnent droit à des dividendes et/ou génèrent du gain/perte en capital et non pas des intérêts. Autre fait très important : vous n’êtes pas assuré de récupérer le capital investi si l’entreprise connaît des difficultés financières.

Obligation ou action : quelle décision prendre?

Bien entendu, cette question est celle à laquelle tout le monde aimerait avoir une réponse claire afin de maximiser les bénéfices des placements effectués. Néanmoins, il faut comprendre que ceux-ci présentent des avantages distincts. 

 

Si vous optez pour l’achat d’actions en bourse, votre prise de risque est considérée comme étant plus élevée, car la récupération du capital investi est incertaine. Ainsi, les bénéfices potentiels offerts en échange de votre argent seront plus élevés.

 

Si vous décidez plutôt de faire l’acquisition d’une obligation, la prise de risque est manifestement plus réduite, car vous êtes théoriquement assuré de récupérer votre argent et même de faire des intérêts. Conséquemment, le bénéfice financier est plus modeste.

Déterminer votre profil d’investisseur pour faire le bon choix

Pour savoir si vous devriez faire l’achat d’une obligation ou d’une action, il importe de déterminer votre profil d’investisseur et surtout votre capacité à tolérer la volatilité du marché. Si certains peuvent se permettre de perdre cet argent, ce n’est pas nécessairement le cas pour tout le monde.

 

Si vous avez besoin d’argent à court terme pour un projet important, risquer celui-ci serait une mauvaise idée. Évidemment, la même logique s’applique pour les retraités qui ne peuvent se priver de cet argent essentiel au maintien de leur niveau de vie des deux ou trois années suivantes. 

Obligation, action en bourse ou les deux?

À noter qu’il est possible d’opter pour un portefeuille diversifié, contenant une part d’obligations et une portion d’actions. Faire ce choix peut s’avérer judicieux afin d’obtenir un meilleur rendement grâce aux actions en bourse, tout en réduisant le risque de perte financière grâce aux obligations.

 

Investir dans un fonds commun peut permettre d’acheter à la fois des obligations et des actions en bourse dans différentes proportions. Par exemple, un portefeuille conservateur pourrait être composé à 20% d’actions et 80% d’obligations, alors qu’un portefeuille équilibré serait composé à 50% d’actions et 50% d’obligations. Une multitude de combinaisons sont offertes!

 

Quelle est la meilleure stratégie à adopter en fonction de votre portefeuille d’investissement? L’application de Livsta pourra vous renseigner à ce sujet!

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